Ce que la presse dit du SNECEA

Depuis avril 2023, les tensions s'accumulent dans le secteur des assurances au Sénégal. Les travailleurs, regroupés sous la bannière du SNECEA (Syndicat national des employés et cadres des assurances), réclament une révision de leur convention collective, dénonçant une stagnation de leurs droits et avantages malgré une croissance significative du secteur. Face à l'impasse des négociations, une grève générale est annoncée pour le 24 décembre si aucune solution n'est trouvée.

Face à ce qu’il qualifie de dilatoire de la part du patronat dans la finalisation d’une nouvelle convention collective, le Syndicat National des Employés et Cadres des Entreprises d’Assurances du Sénégal (SNECEA) annonce un plan d’action incluant un port de brassards rouges les 18, 19, et 20 décembre, suivi d’une grève générale le 24 décembre 2024. Les revendications concernent des droits jugés essentiels pour les travailleurs dans un secteur au chiffre d'affaires en pleine croissance.

Face au blocage des négociations sur la révision de la convention collective des employés du secteur des assurances, le Syndicat National des Employés et Cadres des Entreprises d’Assurance (SNECEA) a convoqué une Assemblée Générale ce [date]. Sous la supervision de Mme Adama Ayse et Mme Wan, secrétaires générales du syndicat, les membres ont adopté un plan d’actions visant à défendre leurs droits et à exiger la prise en compte de leurs revendications.

"Les négociations ont été retardées et bloquées, malgré la relance du ministère du Travail

Face à ce qu’il qualifie de dilatoire de la part du patronat dans la finalisation d’une nouvelle convention collective, le Syndicat National des Employés et Cadres des Entreprises d’Assurances du Sénégal (SNECEA) annonce un plan d’action incluant un port de brassards rouges les 18, 19, et 20 décembre, suivi d’une grève générale le 24 décembre 2024. Les revendications concernent des droits jugés essentiels pour les travailleurs dans un secteur au chiffre d'affaires en pleine croissance.

Le Syndicat national des cadres et employés des entreprises d'assurances (SNECEA) a tenu une conférence de presse pour dénoncer le blocage des négociations sur le projet de nouvelle convention collective dans le secteur des assurances. Cette rencontre intervient dans un contexte marqué par des désaccords persistants avec l’Association des assureurs du Sénégal (AAS), représentant le patronat.

Les tensions sont vives depuis la dénonciation de la convention collective en 2023. Après de longs mois de négociations, un accord était en passe d'être signé en juillet 2023. Cependant, le patronat a fait preuve d’un silence inexpliqué, retardant le processus.

Suite à l’intervention du ministère du Travail en mai, les négociations ont repris et le patronat a soumis cinq propositions le 4 septembre, mais celles-ci ont été rejetées par les travailleurs.

Les points de discorde sont multiples. Le patronat propose une révision à la baisse des indemnités de licenciement, ce que les travailleurs jugent inacceptable.

Le Syndicat National des Employés et Cadres des Entreprises d' Assurances (SNECEA) exprime sa profonde préoccupation et son indignation face au refus du patronat de signer la convention du secteur des assurances. Ce nouveau accord vise à améliorer les conditions de travail et les droits des employés et cadres du secteur des assurances au Sénégal.

Dakar, le 19 août 2024 — Le Syndicat National des Employés et Cadres des Entreprises d’Assurances (S.N.E.C.E.A) alerte sur une crise imminente dans le secteur des assurances, causée par le refus persistant de l’Association des Assureurs du Sénégal de ratifier la convention collective récemment négociée. Ce texte, élaboré après de longues négociations entamées en 2020, est essentiel pour protéger les droits des employés et assurer la stabilité et la croissance du secteur.

Le Syndicat National des Employés et Cadres des Entreprises d’Assurances (S.N.E.C.E.A) lance un cri du cœur en direction des autorités face au refus continu du Patronat de l’Association des Assureurs du Sénégal de ratifier la convention collective récemment négociée.